couverture

Compagnon de la terre

Larochelle, Cajetan

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Les travaux et les jours d'un philosophe-poète planteur d'arbres et maçon de murets en pierres sèches : tel pourrait être le sous-titre du carnet de Cajetan Larochelle. Celui-ci a acheté, il y a trente ans, une vieille maison au bord de la rivière Ouareau, sur un terrain dévasté par les porcs. Au fil des ans, un petit domaine est né des efforts de l'auteur qui, issu d'une famille paysanne, a renoué avec la terre sans pour autant s'éloigner des compagnons - Camus, Lao-Tseu, Rilke, Vadeboncoeur, etc. - qui le soutiennent dans son combat contre la laideur et la violence.

Biographie de l'auteur.e

Cajetan Larochelle a enseigné la philosophie, et écrit des poèmes, des contes et des essais. Il s'intéresse aussi bien à la Grèce antique qu'à l'histoire des Acadiens, et lutte contre l'érosion et l'oubli, tantôt avec les outils du jardinier, tantôt avec ceux de l'écrivain. Compagnon de la terre est son premier carnet.

Quatrième de couverture

Les travaux et les jours d'un philosophe-poète planteur d'arbres et maçon de murets en pierres sèches : tel pourrait être le sous-titre du carnet de Cajetan Larochelle. Celui-ci a acheté, il y a trente ans, une vieille maison au bord de la rivière Ouareau, sur un terrain dévasté par les porcs. Au fil des ans, un petit domaine est né des efforts de l'auteur qui, issu d'une famille paysanne, a renoué avec la terre sans pour autant s'éloigner des compagnons - Camus, Lao-Tseu, Rilke, Vadeboncoeur, etc. - qui le soutiennent dans son combat contre la laideur et la violence. Compagnon de la terre est écrit par un homme qui « pense avec les mains », pour reprendre la formule de Denis de Rougemont, et qui a réussit ce passage harmonieux des arbres aux livres et des livres aux arbres. À la fois ancré dans le territoire et ouvert sur le monde, cet essai est lié au « destin des petites choses ». C'est ainsi que, sans même nous en rendre compte, par un échange constant avec la nature et les êtres qui ne s'en sont pas détournés, nous apprivoisons la mort, le « pays sans paysage ».