couverture

Sangs (Les)

Wilhelmy, Audrée

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Résumé

De son aïeul grand veneur, Féléor Barthélémy Rü ne reçoit pas seulement une immense fortune ; il hérite également du désir de tuer et d'un goût singulier pour la chair crue. Ces plaisirs, il les développe au contact des femmes qu'il croise et qui deviennent, pour certaines, ses épouses et victimes. Car ce n'est pas le daim ni le loup que chasse celui que, dans la Cité, on appelle bientôt l'Ogre, mais des femmes qui, pour étonnant que cela puisse paraître, vont à lui de leur plein gré. D'où viennent ces femmes ? Qui sont-elles et qu'est-ce qui les pousse vers Féléor Barthélémy Rü ? Pourquoi se donnent-elles à lui et qu'ont-elles fait pour en être aimées, parfois tuées ? C'est ce qu'elles expliquent dans les carnets qu'elles laissent derrière elles et que Féléor assemble en un curieux livre - celui qu'on va lire - après le meurtre de sa dernière épouse.

Quatrième de couverture

Dans la salle à manger d'un manoir sont assis quatre enfants à qui l'on a servi un repas de gibier. Une jeune fille, cachée derrière une tapisserie, observe l'un d'eux engloutir la chair crue et note : "Le canard serait meilleur sans toutes les épices". Le garçon s'appelle Féléor Barthélémy Rü, et l'adolescente, Mercredi Fugère. Elle est la première des sept femmes que croisera Féléor dans ce roman qui retrace, au travers des carnets que chacune laissera derrière elle, l'apprentissage d'un meurtrier. Mercredi, Constance, Abigaëlle, Frida, Phélie, Lottä et Marie : qui sont-elles et d'où viennent-elles ? Qu'est-ce qui les pousses vers celui que, dans la Cité, on appelle désormais l'Ogre ? Ce roman parle de désir, de violence, de fantasmes et d'écriture ; il donne accès à un univers amoral - le nôtre ? - où la puissance tient lieu de loi, où les victimes ne sont pas telles qu'on les imagine et où les rencontres peuvent déboucher sur une mort qui n'est pas forcément un drame.