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Après les succès de La Scandaleuse Nouvelle-France et de Honteux personnages de l'histoire du Québec, Guy Giguère nous propose cette fois Les Brebis égarées, qui clôt sa trilogie sur un thème qui lui est cher : les Québécois ayant manifesté un comportement délinquant par rapport aux obligations qu'impose la vie en société, de 1600 à 1900. Les brebis égarées, ce sont ces ancêtres frondeurs qui prennent un malin plaisir à défier les règles de l'Église catholique, préférant se vautrer dans le péché et fréquenter le diable, selon l'expression consacrée. Dans cet ouvrage, les bigames côtoient gaiement les adultères, les religieuses novices s'enfuient du couvent en pleine nuit, des libertins déshonorent de jeunes femmes avant le mariage... et la sainte Mère l'Église excommunie à tour de bras ses fidèles. Serez-vous scandalisé de constater que bon nombre de nos aïeux, hommes et femmes, n'étaient malheureusement pas des modèles de vertu ? Ces individus provocateurs font mentir l'adage voulant que, dans le bon vieux temps, on possédait davantage le sens des vraies valeurs et de la moralité. Devrions-nous plutôt constater que cette chère nature humaine évolue, à chaque époque, entre ces deux pôles immuables : âmes vertueuses et personnages dévergondés ?
Guy Giguère, ethnologue et muséologue, diplômé de l’Université Laval, a participé à la reconstitution de lieux historiques de Parcs Canada. On l’entend régulièrement, sur les ondes de la radio, évoquer les mœurs, coutumes et frasques de nos ancêtres dans une langue savoureuse, et on le lit désormais tous les dimanches dans Le Journal de Montréal. Ses œuvres les plus connues : La scandaleuse Nouvelle-France, Honteux personnages de l’histoire du Québec et Les brebis égarées, une trilogie sur les Québécois ayant manifesté un comportement délinquant par rapport aux obligations qu’impose la vie en société, de 1600 à 1900.
Après les succès de La Scandaleuse Nouvelle-France et de Honteux personnages de l'histoire du Québec, Guy Giguère nous propose cette fois Les Brebis égarées, qui clôt sa trilogie sur un thème qui lui est cher : les Québécois ayant manifesté un comportement délinquant par rapport aux obligations qu'impose la vie en société, de 1600 à 1900. Les brebis égarées, ce sont ces ancêtres frondeurs qui prennent un malin plaisir à défier les règles de l'Église catholique, préférant se vautrer dans le péché et fréquenter le diable, selon l'expression consacrée. Dans cet ouvrage, les bigames côtoient gaiement les adultères, les religieuses novices s'enfuient du couvent en pleine nuit, des libertins déshonorent de jeunes femmes avant le mariage... et la sainte Mère l'Église excommunie à tour de bras ses fidèles. Serez-vous scandalisé de constater que bon nombre de nos aïeux, hommes et femmes, n'étaient malheureusement pas des modèles de vertu ? Ces individus provocateurs font mentir l'adage voulant que, dans le bon vieux temps, on possédait davantage le sens des vraies valeurs et de la moralité. Devrions-nous plutôt constater que cette chère nature humaine évolue, à chaque époque, entre ces deux pôles immuables : âmes vertueuses et personnages dévergondés ? Guy Giguère, ethnologue et muséologue, diplômé de l'Université Laval, a participé à la reconstitution de lieux historiques de Parcs Canada. Travaillant aujourd'hui dans le domaine des communications, il a publié de nombreux articles et des livres sur le patrimoine du Québec. On l'entend régulièrement, sur les ondes de la radio, évoquer dans une langue savoureuse les moeurs, coutumes et frasques de nos ancêtres.
