couverture

Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne

Diaz del Castillo, Bernal

  • Éditeur : La Découverte
  • Collection : (Re)découverte Littérature et voyages
  • ISBN 9782707157898
  • Paru le 6 juillet 2009
  • 24,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

B. Diaz del Castillo, avant d'être le compagnon de Cortès, l'a précédé dès 1517 sur la terre mexicaine dans deux expéditions. Trente ans plus tard, il a rédigé sa chronique décrivant les deux faces du Nouveau Monde : la microsociété des conquistadores, dont il évoque la vie quotidienne, les ambitions et les conflits; et l'immense société américaine, l'empire aztèque et les peuples qui l'entourent.

Quatrième de couverture

«Ma vérité voilera ma rudesse...» : Bernal Díaz del Castillo, avant d'être le compagnon de tous les instants de Cortés, l'a précédé dès 1517 sur la terre mexicaine dans deux expéditions. Trente ans plus tard, sur ses vieux jours, il a rédigé, dans sa riche retraite de Santiago du Guatemala, le récit de la conquête du Mexique.. C'est à dessein qu'il a qualifié sa relation de «véridique» : il a voulu s'inscrire contre le caractère trop hagiographique des relations des chroniqueurs précédents - à commencer par Cortés lui-même. Sa relation est précieuse par la description détaillée qu'elle donne des deux sociétés en présence : la microsociété des conquistadores, dont il décrit la vie quotidienne, les ambitions et les conflits ; et l'immense société américaine, l'Empire aztèque et les peuples qui l'entourent. C'est une vision encore neuve donc, un premier regard que rien n'a encore terni, une découverte sur un monde qui, déjà, à peine appréhendé par les nouveaux venus, dévasté, disloqué, disparaît des mémoires. Il y a chez Díaz del Castillo un débat très moderne sur la valeur des civilisations.. «L'Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne a le mérite de rectifier les hagiographies qu'a trop souvent inspirées l'assujettissement spectaculaire de l'Empire aztèque par Cortés. L'oeuvre, rédigée par un proche compagnon d'armes de ce dernier, décrit en effet, par le menu, l'univers quotidien des conquistadores, ces inquiétants soldats de Dieu que nourrissait une foi catholique aussi raide qu'était grand leur appétit de richesses matérielles.» Le Vif / L'express.