couverture

Manifeste contre le travail

Krisis

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Résumé

Membres du groupe et de la revue allemande Krisis, les auteurs prolongent les thèses situationnistes sur le travail en remettant en cause cette valeur cardinale de la société capitaliste. Ils s'opposent à la transformation de l'individu en ressource humaine et développent une critique radicale du travail fondée sur une déconstruction de la notion de valeur pour parvenir à s'en affranchir.

Quatrième de couverture

Il y a cent cinquante ans, Marx affirmait la nécessaire sortie du capitalisme par le moyen de la lutte des classes. Cent vingt ans plus tard, l'Internationale situationniste, emmenée par Guy Debord et Raoul Vaneigem, élargissait la définition du prolétariat et mettait en cause la société du travail et de la consommation. Le Manifeste contre le travail reprend la critique là où les situationnistes l'avaient arrêtée. Dans une société obsédée par la «valeur travail» et l'effroi que suscite sa possible disparition, ce petit livre-manifeste reprend le combat contre la transformation de l'homme en «ressource humaine». Il rappelle qu'une émancipation digne de ce nom ne peut faire l'économie d'une critique radicale de l'idéologie du travail. Autrement dit, il ne s'agit pas de libérer le travail, mais de se libérer du travail..